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PORTRAITS

Le portrait est pour moi un exercice quotidien aussi bien qu’un laboratoire, le lieu d’expérimentation de nouvelles techniques, de nouveaux styles.

 

Ici, les ouvriers et ouvrières ont un visage marqué par le travail. Dans cette série, ce sont ainsi les traces de la mémoire ouvrière que j’ai cherché à souligner. Le choix d’une représentation funeste est assumé : pour moi, la condition de travailleur en usine n’a rien de romantique. Ce que j’ai voulu communiquer, c’est bien plutôt la violence : violence générée par l’exploitation de ces ouvriers, violence de ces fermetures d’usines qui leur sont imposées.

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